LA GRANDE SOPHIE + Julia Jean-Baptiste

Chaque détail ressemble à la Grande Sophie dans son album à venir .

Un retour hyper créatif, des sons aux arrangements jusqu’à l’image bleue du Cyanotype de sa pochette qu’elle a pris soin de réaliser.

Sa voix est au centre du projet, sa texture se pose sur des chansons tour à tour pop, folk, rock où les ambiances font le grand écart entre profondeur et légèreté.

Ce 9ème album promet un automne chaleureux.

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Avec Jean Sylvain Le Gouic, complice et alter-ego, co-compositeur et arrangeur, Julia Jean-Baptiste a illustré en musique sa dualité, ses doutes et ses coups de blues, tous ces fils conducteurs de Solo et de l’album à venir. « J’ai accepté mes contradictions, c’est une source infinie de discussions et d’inspiration. »  Julia et ses contrastes. La fille aux trois prénoms en a deux masculins. Elle a grandi dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon mais est aussi une enfant des îles, et a fait connaissance avec ses racines martiniquaises paternelles en 2019. Cette dualité embrase Solo, les musiques sont solaires et les textes en clair-obscur.

La douceur des bossas onctueuses du modèle Joao Gilberto, les harmonies savantes de Billy Joel, ont bercé ses aspirations. Solo arbore une pop chaleureuse et organique porté par un groove imparable, une batterie tribale, une clarinette pimpante, des congas voyageuses jouées par Diogo Strausz, un autre compagnon du disque. « Les concerts sont une aire de jeu qui permet d’étirer les morceaux. Sur scène, je suis pleinement moi-même, riche de mon grain de folie, de mon côté tout feu tout flamme. » C’est tout Julia, décidée à faire groover une mélancolie contemporaine et générationnelle et d’en faire jaillir son sens et son sel. Libre de prolonger la nuit jusqu’au petit matin. La chanson La Nuit s’achève sur des gazouillis d’oiseaux enregistrés à iPhone en Bourgogne.